Le créole
Constantin Mayard (1882-1940) Patois où notre peuple eutrapélise et rit Ainsi qu’un farfadet dans la clarté latine. Créole nonchalant ou vif, tel un cabri, Créole à l’air dansant d’une ronde enfantine, Sensuel comme un nid aux printemps aromaux, Emouvant comme un chant de cloches à matines, Tu portes plus de sons, plus de cris que de mots Dans l’élan paresseux de tes voix argentines. Si c’est à te parler qu’un […]
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